
“Nos rêves sont plus courts que nos bras” Arman Manookian- Figure -1930
Les chevaux fous
dans nos chants
cherchent
le vin emmuré de l’azur
les mains du cœur
parlent la langue
des continuités
ce n’est
la faute de personne
si nos rêves sont plus courts
que nos bras
Makenzy Orcel, À l’aube des traversées et autres poèmes, Édition Mémoire d’encrier, 2017, p.89.