C’est un homme avec une femme. Les cinq qui étaient là avaient en face d’eux la montagne avec ses murailles et ses tours; et elle est méchante, elle est toute-puissante, mais voilà qu’une faible femme s’est levée contre elle et qu’elle l’a vaincue, parce qu’elle aimait, parce qu’elle a osé.
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence, Éditions Grasset, Collection Les Cahiers Rouges, 2003, p.182.