[Le métier à métisser] René Depestre par Arthur H
À Michel Conil-Lacoste Le métier à métisser Partie bien étoilée de la mer caraïbe ma vie est la métaphore et… Lire la suite »[Le métier à métisser] René Depestre par Arthur H
À Michel Conil-Lacoste Le métier à métisser Partie bien étoilée de la mer caraïbe ma vie est la métaphore et… Lire la suite »[Le métier à métisser] René Depestre par Arthur H
UN HÉRITIER DE CHARLOT Donne à ton lyrisme un ample pantalon de grands souliers une veste étroite un bâton une moustache et un chapeau… Lire la suite »[Un héritier de Charlot] René Depestre
entre le désert et le jardin la différence n’est pas l’eau la différence est l’homme, le chemin et le pas la différence se porte… Lire la suite »[Entre le désert et le jardin] Sylvie-E. Saliceti
Et la magie ? Qu’en pensez-vous ? Pourquoi pas ? Si nous commencions ce dimanche en magie ? Comme Henri Michaux qui pose une… Lire la suite »[De la magie] Lapins !
Et toi ne dis pas que je perds le sens et le temps de ma vie – si je cherche dans le sable le… Lire la suite »[Et toi ne dis pas…] Antonia Pozzi
L’OISEAU QUI S’EFFACE Celui-là, c’est dans le jour qu’il apparaît, Dans le jour le plus blanc. Oiseau Il bat de l’aile, il s’envole. Il… Lire la suite »[Magie – L’oiseau qui s’efface] Henri Michaux
LES VRAIS AMIS Les vrais amis sont comme les arbres plantés très loin ou bien tout près sans jalousie et sans alarme… Lire la suite »[Arbre et homme ] Julos Beaucarne
Elle raconte comment un orme a contribué à déclencher l’Indépendance américaine. Comment un énorme prosopis vieux de cinq cents ans pousse au milieu d’un des déserts les plus arides de la terre. Comment la vue d’un châtaignier à la fenêtre a redonné l’espoir à Anne Franck, dans le désespoir de sa claustration. Comment des semences sont passées par la lune avant de bourgeonner sur toute la Terre. Comment le monde est peuplé de merveilleuses créatures inconnues de tous. Comment il faudra peut-être des siècles pour réapprendre ce que jadis on savait sur les arbres.
Richard Powers, L’arbre monde, traduction de Serge Chauvin,
J’ai déposé tous les souffles dans mon âme, et j’ai déposé mon âme dans tous les souffles. Shatapatha Brâhmana